A loccasion du discours national du candidat PS François Hollande pour les élections présidentielles du 1er mai 2012 à Nevers.
Je vous rappelle que javais salué la mémoire de Pierre Bérégovoy après sa mort en 2010 devant les socialistes (voir ici) du canton de Torcy en Seine-et-Marne : « Beaucoup douvriers, par exemple, Pierre Bérégovoy, fraiseur est devenu excellent ministre des Finances et Premier Ministre. Il y en a dautres que je ne cite pas. Et vous voyez bien même à sa place, il nétait pas accepté car considéré comme militant de base , ouvrier. »
Sur cette ligne de réflexion, je suis candidat à la députation de la 10e circonscription de la Seine-et-Marne contre le numéro 1 PS dans cette département. Comme Pierre Bérégovoy à ses débuts, je ne suis pas élite, ni intellectuel, ni fonctionnaire mais, technicien, cest-à-dire : manuel.
Jai toujours en tête le film de la vie de Pierre Bérégovoy qui me sert de ligne de conduite dans ma vie politique et ma vie tout court.
Pour mémoire, dans le même élan, je vous livre cette réflexion aussi qui concerne le Président François Mitterrand et les journalistes : Et, je ne suis pas d’accord avec François Mitterrand. Dans son discours en hommage à Pierre Bérégovoy, en visant les journalistes, il dit que Bérégovoy « livré aux chiens… ».
Mais, pour moi et pour mes amis la faute est celle aussi des Socialistes car Pierre Bérégovoy a été abandonné par « ses camarades » socialistes, surtout ceux qui méprisent les militants de base et profitent le sigle du PS pour être élus et réélus enfin de garder les privilégiés entre eux et leurs copains sur le dos des Français qui les font rois. En laissant les militants de base restés larbins toute leur vie.
Mon discours, cliquer pour agrandir: