Colloque « Décolonisons les imaginaires »

Mon intervention à ce colloque, jeudi 12 mars 2009 :

J »ai été soutenu, encouragé, félicité par de nombreux personnes après mon intervention.

Une dame (européenne)  m’a parlé et a tiré mon attention, elle raconte qu’elle avait demandé à une responsable de cette manifestation : « Pourquoi vous n’évoquez pas des asiatiques? »; La responsable, une organisatrice de ce colloque a répondu : « Les asiatiques ne posent pas le problème ». Il n’y a eu que moi, qui ai prise la parole,  posé le problème.

« Bonjour à tous,
Cuong PHAM PHU, habitant de Lognes (Seine et Marne).
Merci à Bertrand DELANOË d’avoir organisé ce colloque, qui nous donne l’occasion de parler, d’exprimer.
Où est la représentation des citoyens d’origine asiatique ? Nous avons assez d’entendre dire que nous sommes pas bêtes, nous sommes bons travailleurs, que nous sommes loyaux. Pourquoi l’ouverture politique nous rejette ?
Pourquoi ne pas encourager les acteurs de la communauté asiatique ?  Il faut encourager, donner un coup de pouce aux acteur, aux association étrangères ou asiatiques qui mènent des actions pour rendre ses membres, ses adhérents, citoyens à part entière. Et, non pas à ceux ou à celles qui se tournent dans leur pays, vers le passé, mais, celles qui se tournent vers la France, notre pays, l’avenir.
Je vous remercie. »

Cliquez dans fichier ci-dessous :

colloque-a-la-mairie-de-paris_0001.pdf


2 réflexions sur « Colloque « Décolonisons les imaginaires » »

  1. Toi, ne pas poser de problèmes est donc content de ton sort : tout le monde ne peut pas prétendre à une responsabilité sans dire au moins « je suis candidat » et comme il n’y a pas de place déjà pour la clientéliste, on octroie ces places justement à ceux des minorités qui les exigent activement. Cela fait déjà des mécontents dans son camp. Alors, dors comme tu a l’habitude jusque là c’est pour cela qu’on t’apprécie. Toi, qui ne pense peut-être qu’à l’argent pour vivre et les autres vivent aussi $auvre complexe de réfugiés, a mains vide en arrivant en France.

  2. À force de croire qu’on vous aime car vous « êtes sans problèmes », que vous êtes les 1er à l’école, que vous êtes absents de toute organisation,que vous êtes sages, que vous ne méritez pas car on ne vous propose pas-maso-vs Vous êtes mis en dehors de la société vous même comme disait 1 de nos illustres politiques défunt.

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