Message de Nicolas Dupont-Aignan

J’ai reçu un message de Nicolas Dupont-Aignan suite à mon point de vue que je tiens à remercier.
Je suis très satisfait ainsi que mes amis de votre appréciation (N.Dupon-Aignan) relative à cette journée nationale à la mémoire des anciens combattants indochinois – la journée nationale du 8 juin.
Nous espérons vous retrouver tous pour glorifier les libérateurs de notre cher pays.
Luttons pour l’équité de nos descendants dans notre chère France.
Cuong PHAM PHU.

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Une réflexion sur « Message de Nicolas Dupont-Aignan »

  1. Merci de ne plus t’occuper de la question de la mémoire de la guerre d’Indochine, visiblement, tu n’y comprends rien, pas plus que la guerre américaine d’Indochine. Tu mélanges toujours un tas de choses et je sais que tu ne le fais pas exprès. Grossièrement, personne ne comprend que tantôt, tu fasses l’éloge de l’oubli du colonialisme et tantôt, tu fais l’apologie des morts glorieux de toutes les guerres où la France fut en cause. Au fond, je voudrais dire encore une fois (comme je te l’ai dit déjà la dernière fois et de vive voix) que tu n’es pas, et personne ne va te le reconnaître, le champion de l’asiatisme. L’asiatisme, tel que tu le vois, ça n’existe pas. La seule chose qui pourrait exister au niveau mondial, c’est la fin du suprématisme blanc et de l’Occident, deux moments-clés l’annonçaient déjà, dans l’Histoire: d’une part, la théorie de la « Sphère de co-prospérité » du Japon pendant la première moitié du XX° siècle avec la guerre du Pacifique et l’attaque de Pearl Harbour le 7 décembre 1941 et d’autre part, la révolte anti-coloniale affirmée dans la conférence de Bandung en avril 1955, qui a donné du contenu au concept de « Tiers Monde ». La montée en puissance actuelle de deux pays parmi les plus importants de la conférence de Bandung, la Chine de Mao et l’Inde de Nehru, semble indiquer que les dirigeants actuels de ces deux pays, ont partiellement réalisé les promesses de leurs glorieux aînés. Il leur reste encore à inventer le partage (à mettre en oeuvre la République sociale que le Conseil National de la Résistance avait définie, au lendemain de la fin de la seconde guerre mondiale) et à supprimer l’individualisme forcené, propre au capitalisme, y compris en les foutant dans les camps de rééducation.

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