C’est vrai, il y a une « résonance à la Seine-et-Marne ».

C’est vrai, il y a une « résonance à la Seine-et-Marne ».

Pour ne tenir compte que des nouveaux événements, c’est à dire, depuis que Vincent Eblé fait partie de l’équipe de campagne de François Hollande et depuis hier élu à la chambre haute, sénateur grâce aux seine et marnais ; Il y a trois suicides des jeunes, très jeunes dans le canton Lognes -Noisiel où il est  conseil général.

Les seine et marnais ont noté que la politique du conseil général avec Vincent Eblé – numéro 1, a prôné la priorité pour la jeunesse dans tous les domaines. François Hollande a choisi également favoriser les jeunes comme une priorité de sa campagne électorale.

Que pense t-il, François Hollande, de ces drames de la jeunesse en Seine et Marne, puisque Vincent Eblé faisant partie de son équipe et lui aussi, prétend favoriser l’avenir des jeunes.

Vincent Eblé a son slogan « chaque jour à vos côtés » quand il était candidat devant les Seine et marnais ; Je pense avec tous ces cumuls de poste, ce slogan devient une publicité mensongère.
Cuong PHAM PHU.

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16 réflexions sur « C’est vrai, il y a une « résonance à la Seine-et-Marne ». »

  1. Une telle ignorance, c’est pas possible …et tu persistes. Les sénateurs ne sont pas élus directement par les électeurs mais par les grands électeurs (maires et conseillers généraux) et si le sénat n’était pas renouvelable par tiers, la droite sarkoziste aurait ramassé une branlée encore plus grande.

  2. Moralité, il ne faut surtout pas voter pour les socialistes, ennemis invétérés de la France. Il aurait été de loin préférable que la droite soit majoritaire. Mais l’extrême-droite le sera heureusement un jour et les défavorisés voteront en masse pour elle, alors qu’aujourd’hui ce sont les bourgeois qui votent, surtout par mode, pour les gens dits de gauche.

  3. ça va mieux en le disant. A quand un billet de François (pour français) Desouche (pour de souche). Je ne savais pas que le bouddhisme était de droite et même d’extrême-droite et par conséquent, que Bouddha était un pré-hitlérien. Cuong, ça fait mille fois qu’on te le dit, tu fréquentes politiquement n’importe qui, tu fais n’importe quoi et tu dis n’importe quoi, tu nous nous discrédites par tes conneries. CA SUFFAT COMME SI

  4. Banasat et Leon Nguyen sont les 2 manques de leur vocation de politicien. Vous ne faites rien et pour personne donc pour vous memme mais vous vous acharnez à critiquer de facon assasine quelqu’un comme CUONG qui essait de servir les causes ignorées et méprisées par les politiques et par vous également. pourquoi n’osez vs pas cibler vos critiques sur des personnes et sujets précis? C’est peu courageux et improductif socialement d’etre comme vous! Nous ne vivons qu’une seule vie et vous approchez la retraite : soyez utile comme CUONG. Repentissez vous! Il n’y a pas de HONTE à cela.

  5. Monsieur Durandu
    Qu’est-ce que tu en sais que je ne fais rien pour les autres?
    Le soit-disant combat de Cuong, c’est de la merde et ça ne m’intéresse pas, fot que je parle en viet pour que vous compreniez? Vous faites honte à tout le monde!

  6. Voici un de mes sujets de préoccupation: le sens de ce qui s’est passé il y a 50 ans et s’il y a des commémorations, c’est parce qu’il ne faut jamais oublier ce qui s’est passé et que c’est un devoir de le transmettre aux jeunes générations.

    Allez donc voir le spectacle CAFI sur le camp de Sainte-Livrade, ça se termine Dimanche
    De: Contact Cafi
    À:
    Date: Lundi 26 septembre 2011, 9h47

    Bonjour à tous,
    Voilà notre deuxième article.
    Nous avons besoin de public pour notre dernière semaine sur Paris.
    Pouvez-vous nous aider?
    Merci

    CAFI
    24 septembre, 2011 | critique | Pas encore de commentaires.
    « Je m’accroche aux racines qui sont sous la terre car au dessus le vent emporte tout »
    cafiyvanphilmer.jpgCAFI. Non , ce n’est pas le nom d’une déesse indienne, ni d’une ville exotique, c’est un sigle qui signifie Centre d’accueil pour les Français d’ Indochine et qui nous renvoie à un pan inconnu de notre histoire . Ce centre qui s’est d’ailleurs d’abord appelé CARI (pour les rapatriés d’Indochine – et la nuance est de taille) existe toujours; il se trouve à Sainte-Livrade-sur-Lot, et est aujourd’hui réhabilité ; on y a construit des maisons où installer (mais trop tard!) ceux qui y vivent depuis 50 ans, qui ne peuvent plus s’habituer au changement ou qui en meurent.
    L’histoire de ce centre (en fait d’ anciens baraquements militaires) et la vie de cette population, en majorité des femmes et enfants qui ont quitté en 1956 leur pays, le Vietnam, c’est là le sujet du spectacle écrit par Vladia Merlet, une comédienne qui interprète Louise, fille d’une Vietnamienne et d’un Français qui prendra la fuite avant le grand départ de la famille pour Marseille, puis le Lot. Le personnage de Louise a 9 ans quand le voyage commence sur un bateau où l’on peut si bien jouer quand on est enfant…
    La comédienne est la fillette qui va grandir mais elle est aussi la mère digne qui va vieillir, le frère, les amies, les voisines, elle dévoile les espoirs et les désillusions . Elle est fine, précise, et les mots claquent sur ses lèvres. Le spectacle est « mis en scène collectivement » sous la houlette de Georges Bigot avec simplicité, invention, sensibilité et poésie.
    Des draps tendus , des ombres chinoises, de la musique live en non stop, quelques voix enregistrées, des chapeaux, un masque vietnamien , un dragon agité , un coffret où la mère a enfermé des graines pour refaire au loin un jardin…. Du jeu, beaucoup; parfois de la lecture, ou des confessions les yeux dans les yeux . Et l’émotion serre la gorge . Ce spectacle-hommage à ces oubliés de l’histoire est bouleversant: il informe mais évoque aussi tous les exils. Il faut – vite – aller le voir.
    Béatrice Picon-Vallin
    Théâtre de l’Opprimé jusqu ‘au 2 octobre

    http://theatredublog.unblog.fr/

    Béatrice Picon-Vallin, directrice de recherches au CNRS (ARIAS), professeur et auteur d’ouvrages sur le théâtre russe , la mise en scène, et les rapports entre le théâtre et les autres arts. Elle dirige trois collections : Mettre en scène à Actes Sud -Papiers , Arts du spectacle aux Editions du CNRS et Th XX à L’Age d’homme).

    CAFI

    On nous encourage à aller voir le spectacle « CAFI » qui se joue au théâtre de l’opprimé, dans le XII° arrondissement de Paris et qui risque d’être annulé, faute de public suffisant. Nous n’avons pas encore vu ce monologue, mais il vient après de nombreuses initiatives comme des films documentaires, des colloques plus ou moins critiques, des descentes de télévisions nationales et de nombreux reportages de la presse écrite (l’Express, le Nouvel Obs, le Monde etc.). Sans doute, par temps de calme sur fond de fin du colonialisme et de la guerre froide, est-on tenté de ne pas trop s’y intéresser, faute d’enjeu politique immédiat. Tout ça ne vient-il pas un peu trop tard, la guerre d’Indochine, c’est fini tandis que celle d’Algérie n’en finit pas de mourir pour accoucher d’une nouvelle ère qui se fait toujours attendre ? Tout ça vaut-il qu’on se retourne en arrière pour voir si les leçons du passé ont été tirées car, après tout, comment ne pas penser à l’Indochine lorsque l’on voit le même enlisement en Irak et en Afghanistan et toujours le prétexte du Monde libre, de la défense de la démocratie contre les barbaries Vietminh, celles du FLN, celles du Vietcong et maintenant celles des talibans. Comme toujours, les grands discours mobilisent les grands systèmes, la grande force guerrière revêtue des oripeaux de la solidarité internationale se déploie au secours des populations martyrisées par les uns et les autres. Comme toujours encore, il y a des dommages collatéraux : ça s’appellent des réfugiés, des demandeurs d’asile, des exilés, des harkis, des français d’Indochine, il y a plus de 50 ans et même encore actuellement, ce sont des dommages collatéraux qu’on ne veut pas voir et que l’on affecte dans les camps, camps administrés par l’Etat comme Sainte-Livrade sur Lot ou Bias (Lot et Garonne) ou encore Rivesaltes ; camps improvisés et administrés par les dommages collatéraux eux-mêmes, assistés de bénévoles comme dans les jungles du Calaisis, bref, camps que l’on ne veut pas voir. Les camps, c’est ça, la grande maladie de nos démocraties et la forme moderne en est constituée par le système des CRA. Il n’y a pas de différences entre ce qui s’est passé à Sainte-Livrade pendant 50 ans et ce qui se passe actuellement dans le Calaisis : il s’agit d’invisibiliser des problèmes qu’on ne veut ni voir ni traiter.

    Comment en est-on arrivé là et que nous apprend le camp de Sainte-Livrade qui a poursuivi son bonhomme de chemin jusqu’au XXI° siècle alors que les Harkis avaient lancé le signal de la révolte des camps dès 1975. Pour comprendre la douleur exprimée dans la pièce « CAFI », il faut peut-être remonter loin en arrière, juste avant le début de la Toussaint rouge de novembre 1954, en Algérie.

    7 mai 1954 : Dien Bien Phu est tombé, De Castries, Bigeard, Langlais sont faits prisonniers par les gna qués

    20 juillet 1954 : les accords de cessez-le-feu en Indochine sont signés en présence des trois grands (Chine, USA, URSS) entre la France et les trois pays de l’Indochine Française, voici ce que disait Lucien Bodard.

    Malgré la chute de Dien Bien Phu , le 8 mai, à Hanoi, le Corps expéditionnaire célèbre malgré tout le neuvième anniversaire de la fin de la seconde guerre mondiale, comme prévu par l’Etat-major du général Cogny. Les troupes défilent donc dans les rues d’Hanoï. « C’est la revue des ombres, dit Bodard, des survivants, de tous les soldats que le hasard n’a pas envoyés à Dien Bien Phu. Les hommes passent…Ils appartiennent aux dernières réserves du Tonkin : un bataillon de parachutistes très « jauni », quelques légionnaires, des tanks…. »

    « On ne sait toujours pas, poursuit Lucien Bodard, pourquoi Dien Bien Phu est tombé. Il est probable que le réduit français de la jungle craqua à la façon d’un cœur malade…Le deuil et l’amertume accablent le corps expéditionnaire. Car, pour tous les combattants du Tonkin et de l’Indochine, Dien Bien Phu, c’était plus que la vie. »

    Cependant, les Tonkinois ne font pas montre de triomphalisme ni d’exubérance et la vie continue comme si de rien n’était.

    « Dans la ville, les Vietnamiens mpontrent toute l’indifférence de l’Asie ; pas un geste de défi envers les Français ; pas non plus un sourire ou une bonne parole. On pourrait croire qu’ils ignorent les évènements, mais ils sont déjà au courant. L’impassibilité de l’Orient…les civils français sont peu à peu pris d’inquiétude. Après avoir cru, intangiblement, pendant des années, au dogme de la supériorité des blancs, ils découvrent que les Vietminh peuvent gagner…

    La paix est imminente ; ce sera celle de l’humiliation.

    Un drapeau rouge, marqué en son centre de l’étoile communiste, flotte au bout d’une longue perche. Il commande la route la route par où un convoi de journalistes roule vers Trunggia ; car c’est là que doit se tenir une conférence de la paix qui double celle de Genève.

    En principe, le lieu de rencontre a été fixé dans un no man’s land’. Mais ce pavillon vietminh prouve que c’est ici le fief de l’ennemi : « les Français négocient en vaincus chez leurs vainqueurs. »

    « Les Français, nous dit Lucien Bodard, ont cent jours pour évacuer Hanoï. »

    On sait que ceux qui avaient le plus à redouter d’une victoire du Vietminh étaient les métis, les employés des colons, les compagnes des militaires ou de l’Armée française et les catholiques qui furent environ un million à rejoindre le sud en application de l’article 14 des accords de Genève.

    « Pour eux, dit Lucien Bodard, va commencer l’existence administrative – le transport en commun aux frais du gouvernement, des camps, des internements, l’impossibilité de se réadapter. Ils vont devenir des gens de nulle part. Mais tout cela, on ne le voit pas. Combien de victimes parmi les Eurasiens ! Quatre-vingts années de régime colonial ont déposé, en marge de tout, une couche de petites gens – de métis employés à des métiers méprisés, mères annamites des métis, épouses ou concubines jaunes de Français disparus, et tous les enfants innombrables, fabriqués par le Corps expéditionnaire. Nul ne sait ce qu’ils vont devenir. Mais qui s’aperçoit de ces drames ? Pendant ce temps, les sociétés capitalistes déménagent leurs avoirs, mais elles ne peuvent transporter leurs usines et leurs mines. Aussi dans les conseils d’administration, prévaut l’arrière pensée ; « Ne pourrait-on pas traiter, nous aussi, avec Ho Chi Minh pour continuer notre activité d’une façon ou d’une autre ? »

    Entre 1954 et 1956, plusieurs dizaines de milliers partent en même temps que les dernières troupes du Corps expéditionnaire. Ils seront confinés dans des camps comme ceux de Bias et de Sainte-Livrade sur Lot

    Léon NGUYEN

    Sources TERRA:
    contact.cafi@yahoo.fr
    Béatrice Picon-Vallin
    Théâtre de l’opprimé

  7. @Léon, je ne fais pas baisser ton niveau et le niveau de tes amis. Ce sont les gens qui vous jugeront votre niveau. Je mène mon combat avec ma conviction. Amicalement. Cuong.

  8. Leon tu défends la cause perdue alors qu’il reste peu de temps pour sauver les descendants de cette cause! Ta cause est la honte de notre répub voulant oublier! mais la cause défendue par Cuong inclut l’avenir de tes  »descendant » de par le monde! Veux tu qu’ils remplacent les indésirables? Tu n’a pas d’enfant! Tu va disparaitre de ce monde et eux ne bruleront pas les encens pour ton ama pour que tu puisse réincarner en être humain et utile juste et précis.

  9. Continue à délirer dans ton coin mon gars, tu n’avanceras pas d’un pouce. Pourquoi on écoute les Arabes et les Noirs, parce que ça fait 30 ans qu’ils gueulent et qu’on continue à se foutre de leurs gueules? Pourquoi on fait du testing sur les questions de logement et de travail, parce que quand tu es noir ou arabe, les portes s’ouvrent difficilement, même si tu parles bien le français et même si tu es sur-diplômé. Et il y a 30 ans, certains flics tiraient pour tuer (ça s’appelle une bavure policière), quels sont les Viets qui se sont bougés le cul pour aider les Noirs et les Arabes: pas un seul. Maintenant, il y a un tout petit gâteau politicien à partager et vous en voulez une part alors que vous ne vous êtes jamais bougé le cul une seule seconde. Vous ne comprenez même pas les tactiques politiques des uns et des autres: sachez pourtant que les Arabes et Noirs au gouvernement, ce n’est que de la poudre aux yeux, idem pour les sportifs de haut niveau. Qu’est-ce qu’on fait pour calmer les minorités agissantes? On crée une élite, qu’on met au gouvernement sur des postes pas trop importants (justice, sport et jeunesse, droits de l’homme etc.), on met des Arabes et des Noirs dans l’équipe de FRance de foot, ça fait rêver toutes les cités mais ça ne fait pas avancer l’égalité d’un millimètre. Enfin, votre discours est un peu la suivante: je veux être assimilé, j’estime être assimilé, j’aime la France, j’aime son histoire coloniale et même son histoire esclavagiste et je revendique un poste politique de haut niveau. Vous rêvez les gars, même au Vietnam, votre délire resterait un simple délire de Gna Qué, vu le niveau déplorable de culture et de langue dont vous faites la démonstration à longueurs de journée. Vous semblez même ignorer que le code civil contient 2 articles qui définissent précisément comment on peut être déchu de la nationalité française:
    1) défaut d’intégration
    2) défaut d’assimilation (c’est la maîtrise de la langue)
    On peut également ajouter le détournement de la loi dans son esprit (le ceseda et les dispositifs DUBLIN II, ainsi que les règlements de l’espace Schengen)
    Voilà, messieurs, that’s all for today

  10. @Léon,Si tu es fort, tu as le « niveau », présente toi devant le peuple comme moi je l’ai fait car j’ai été candidat à l’élection cantonale en Seine et Marne, en mars 2011. J’ai deja parlé des élites que tu fais partie mais toi, tu es rejetté par eux ici. J’ai également parlé de toi dans les messages personnels et à travers mon Blog là. Tu vois, tu fais partie des ces élites pourtant je ne te rejette pas.
    C’est à toi de tirer la conclusion au niveau personnel.

    Voici quelques messages parmi d’autres que j’ai reçu suite à mon portrait sur RFI (deux parties) :

    Partie 1 http://www.rfi.fr/emission/20110504-1-cuong-pham-phu
    Partie 2 http://www.rfi.fr/emission/20110504-2-cuong-pham-phu

    “Cuong,J’ai écouté l’émission de Rfi avec beaucoup d’intérêt. Ce qui est frappant c’est que ton patriotisme qui te parait ,à juste titre naturel, est dépassé pour beaucoup de nos compatriotes hélas. C’est bon que tu le rappelles.
    Tu as eu raison de tenir tête à la journaliste qui te tendait des pièges comme le choix de la chanson en évoquant celle de Gainsbourg.

    Ce que je ne comprends pas c’est que tu es prêt à changer de nom . C’est un nom très honorable et je ne vois pas pourquoi tu en changerais. Napoléon s’appelait Bonaparte (Buonaparte en gênois). C’était un nom étranger qu’il a gardé jusqu’à ce qu’il devienne empereur . Les rois se faisaient nommer par leur prénom et Napoléon ,bien qu’issu de la Révolution, a continué cette pratique.”

  11. Les élites. Je ne fais pas partie des élites, n’ayant fait ni HEC, l’ENA, Sciences Po, X-Mines, ou Normale Sup et je ne fais pas partie des élites politiques non plus, ayant choisi de militer dans le mouvement associatif: je t’ai expliqué au moins 1000 fois pourquoi, mai 68 et la pensée 68 ont laminé les partis et les syndicats comme grosse machine de représentation du peuple. Tu ne peux pas le comprendre, parce que tu es resté le petit immigré viet que tu es. Ceci dit, je te prendrai au sérieux quand Olivier Faure ou Hoan Ngoc Liem posteront un mot sur ton blog. Toi et Durandu ou les gna qués que tu cites, vous n’êtes pas des gens sérieux. Tu voudrais que je me présente aux élections, pourquoi faire? Je ne suis pas dans un parti et quant à représenter les Viets, les viets ne le voudront pas, vas donc leur demander pourquoi ils ne veulent pas qu’on les représente.

  12. Léon, ne te détourne pas de ce que je dis. Je n’ai pas dit que je voulais que tu sois candidat mais j’ai dit cela pour faire une comparaison : moi, j’ai été candidat (sans parti, je te rappelle) et j’ai 237 voix. Et toi? tu es professeur, je suis ouvrier et tu méprises le peuple. Les gens qui lisent te jugeront. J’ai n’ai pas besoin de te juger comme toi tu me méprises. Moi, Je ne me cache pas, je ne suis pas l’opinion. Je m’expose pour qu’on me juge. Ce sont les Français qui me jugent, pas toi. C’est pas cela le courrage?
    Pouquoi tu parles toujours des Viets? Tu ne comprends pas que ma cause,celle de faire avancer les Français d’origine asiatique donc toute asie. Pas seulement ceux qui viennent de Vietnam.
    Quand à Olivier Faure et Liem Hoang Ngoc, je les ais tous rencontrés, entretenus plusieurs fois et toi? Tu n’as même pas « l’honneur » d’être reçu. Ces deux personnes avec les autres, j’ai critiqué ici-voir l’article du 31.07.2011 sur mon Blog – CUONGPHAMPHU.FR / Et maintenant c’est eux qui me demanderont peut être me voir. Amicalement. Cuong PHAM PHU.

  13. salut Leon tu utilise l’expression que seul Mr LEPEN utilise il y a a 50 ans: nha que_pour 1 viet tu ne sait pas ecrire le vnm!_tu est l’alier objectif de lepen? Nha que v dhonte a toi tu ne te nommes plus Leon BLUM campagnard, il n y a pas de honte au contraire dans tous les sens surtout a notre epoque d’etre paysan= maitre du pays! tu ignore meme que les conseillers tres proches des no 1 en france sont du magreb … tu tu crois que le ministere de justice est mineur: d ou habite tu, c est le ministere preque le plus strategique! Bref tu dis n importe quoi juste pour avoir raison sur ns: le blog est visité par meme les no 1 francais_qu ils neavouent pas_ tu n’as pas honte de ton rang de elite? Tu perds ton sang froid pour attaquer  »ta » VRAIE cause!

  14. Mon vieux
    Personne ne te méprise. Quand je t’ai rencontré avec ton copain, je me rappelle plus comment il s’appelle; je n’ai pas réussi, en toute une après-midi, à te tirer les vers du nez sur les choses politiques élémentaires que voici:
    -Ton action rencontre-t-elle des échos, ça intéresse qui?
    -Pourquoi est-ce que tu renies ton pays d’origine? Pourquoi tu n’en parles jamais, peur des représailles?
    -Comment analyses-tu la situation des Asiates dans l’ensemble?
    -Pourquoi ne bouges-tu pas ton cul pour les jeunes compatriotes victimes du ceseda?
    -Comment se fait-il que tu n’arrives pas à hiérarchiser tes fréquentations politiques et à répondre à ceux qui dénigrent la gauche et qui glissent avec aisance du bouddhisme zen à Le Pen?
    -Pourquoi n’y a-t-il pas de syndicalistes asiatiques dans les grandes entreprises?
    -Pourquoi les grosses associations comme l’UGVF n’ont rien à branler de défendre les asiates en France etc.etc.

  15. a Leon: mon intervention no 13: a lire , ligne3: nha que vient de: en vietnamien nha= maison que=disonsen campagne disons ( ex. que huong=patrie,pays) .l’origine du mot , depuis l histoire et comme partout les villes n existait pas encore avant la révolution industrielle en Europe.et quand Lepen dit nha que et puisqu’il est francais et pas viet _jaune et puisqu’il se sent colonisateur, il considère que nha que veut dire sous_developpe donc homme ariere: tu vois pour les vnm nha que est plutot source de fierté.

  16. Leon, je m indigne pour ton ami malheureux Cuong car tu passait tout ton apres midi avec lui et son copain que tu ne te rappelle plus de son nom? Je suppose que vous dejeunez ensemple donc c’est pour nous assez proches ! Cela justifie mes propos sur vous Mr Leon! Vos questions à Cuong prouvent que vous n’analysez pas ses dires sur ce Blog la et ce depuis le debut rt d’une facon structuree et claire sur tous VOS QUESTIONS: du syndicalisme au phenomene Lepen: vs etes vraiment 1 homme du passé et meritez a vous seul l’expression de Lepen NHA QUE
    Leon, je m’indigne pour CUONG.

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